Large et blanc
Dans les toiles du vent d’été
Le foulard de maman s’élance
Et revient
Au cœur des mélopées
Comme lui
La niaiserie reviendra
Le grand piège à poètes
Et toute mon inquiétude s’envolera
Comme si elle n’avait jamais fait partie de moi
Toute ma poésie fera bagages
À bord d’avions en longues pages
Au cœur de la soute lyrique
Pour encore finir en pleurs
Et recommencer à nouveau
Cette tragédie antique.
Un narcisse tout blême